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samedi 20 juillet 2013

Le citron congelé et ses bienfaits

 


 À vous d'essayer, au fond, il y a tout à gagner, n'est-ce pas ?

 Le citron congelé : incroyable. À vous d'en déterminer l'efficacité !


De nombreux professionnels de restaurants et brasseries utilisent ou consomment le citron entier et rien n'est gaspillé.
 
Comment pouvez-vous utiliser le citron entier sans pertes ?
 
C’est simple ... placer le citron dans le congélateur. Une fois que le citron est congelé, utiliser votre râpe et râper le citron entier (pas besoin de l'éplucher) et le saupoudrer sur le dessus de vos aliments. Saupoudrez-le sur vos salades, crème glacée, soupe, nouilles, sauce à spaghetti, riz, sushi, plats de poisson, etc. Le goût de tous les aliments sera rehaussé de façon inattendue.
 
Très probablement, vous ne pensez au citron que pour sa vitamine C. Pas plus.
 
Quel est l'avantage majeur de l'utilisation du citron entier autre que pour prévenir le gaspillage et ajouter un nouveau goût à vos plats ?
 
Eh bien, les zestes de citron contiennent jusqu'à 5 à 10 fois plus de vitamines que le jus de citron lui-même. Et oui, c'est ce que vous auriez gaspillé.
 
Mais à partir de maintenant, en suivant cette procédure simple de congeler le citron entier, puis le râper sur le dessus de vos plats, vous pouvez consommer tous ses nutriments.
 
Il est également bon à savoir que les zestes de citron sont régénérateurs de santé dans l'éradication des éléments toxiques dans le corps.
 
Donc, placez votre citron dans votre congélateur, puis râpez-le sur votre repas à tous les jours. C’est un élément clé pour rendre vos aliments plus savoureux qui vous aidera à vivre plus sainement et plus longtemps ! C'est le secret du citron ! Mieux vaut tard que jamais !
 
Le citron est un produit miraculeux pour tuer les cellules cancéreuses. Il est 10,000 fois plus puissant que la chimiothérapie.
 
Pourquoi ne sommes-nous pas au courant de cela ? Parce qu'il existe des laboratoires intéressés à faire une version synthétique qui leur apportera d'énormes profits.
 
Vous pouvez désormais aider un ami dans le besoin en lui laissant savoir que le jus de citron et le citron lui-même tel qu’expliqué ci-dessus, est bénéfique dans la prévention de la maladie. Son goût est agréable et il ne produit pas les effets horribles de la chimiothérapie.
 
Combien de personnes vont mourir alors que ce secret bien gardé est maintenu, afin de ne pas compromettre les multimillionnaires des grandes entreprises ?
 
Comme vous le savez, le citronnier est connu pour ses variétés de citrons et limes.
 
Il est crédité de nombreuses vertus, mais la plus intéressante est l'effet qu'il produit sur les kystes et les tumeurs.
 
Cette plante est un remède prouvé contre les cancers de tous types. Certains disent qu'il est très utile dans toutes les variantes de cancer. Il est également considéré comme un spectre antimicrobien contre les infections bactériennes et les champignons, efficace contre les parasites internes et les vers, il régule la tension artérielle trop élevée et est un antidépresseur, tout en combattant le stress et les troubles nerveux.
 
La source de cette information est fascinante : il s'agit de l'un des plus grands fabricants de médicaments au monde, qui dit que, après plus de 20 ans d’essais en laboratoire depuis 1970, les extraits ont révélé qu’il détruit les cellules malignes dans 12 cancers, notamment du côlon, du sein, de la prostate, du poumon et du pancréas.
 
Les composés de cet arbre se sont avérés 10,000 fois plus efficace que le produit Adriamycin, un médicament chimio-thérapeutique normalement utilisé dans le monde, pour ralentir la croissance des cellules cancéreuses.
 
Et ce qui est encore plus étonnant : ce type de thérapie avec l'extrait de citron détruit seulement les cellules cancéreuses malignes et elle n'affecte pas les cellules saines.
 
Alors, ne vous en privez pas ...



dimanche 14 juillet 2013

De dangereux vaccins peuvent provoquer les symptômes du bébé secoué


Un terrible drame qui pourrait toucher n’importe quelle famille !

Les parents sont faussement accusés d'avoir secoué leur bébé.
Christina England, 22 juin 2013 (extraits) - Les parents sont parfois faussement accusés d’avoir secoué leur bébé. Au fil des ans, des parents ont de plus en plus souvent été accusés de maltraitance si le diagnostic de l’enfant présentait la « Triade » des dommages associés au Syndrome du Bébé Secoué (SBS) après avoir reçu un ou plusieurs vaccins. Cette « Triade » comprend des hémorragies à l’intérieur du cerveau, des hémorragies derrière les yeux, l’inflammation ou l’œdème du cerveau.

Lorsque des médecins suspectent qu’un bébé a été violemment secoué, ils examinent le bébé en fonction de la « Triade » de symptômes associés au SBS. Il s’agit d’hématomes « sous-dural » (hémorragies du cerveau), d’hémorragies rétiniennes et d’œdème cérébral.

La « Triade »

 

Hémorragies du cerveau


Norma Guthkelch, neurochirurgien à la retraite, a été le premier à décrire le Syndrome du Bébé Secoué en 1971 dans le journal Infantile Subdural Haematoma and its Relationship to Whiplash Injuries, dans lequel il analyse 23 cas fortement suspectés d’agression parentale sur des enfants de moins de trois ans. Il conclut :

il a été démontré qu’il existait une différence entre la fréquence de l’hématome sous-dural survenant chez des enfants battus et des symptômes identiques provenant d’une autre origine. La fréquence des premiers symptômes était plus élevée que prévu, bien que chez la plupart des enfants qui ne présentaient pas de fracture du crâne, il n’était pas possible de trouver de preuves claires de violences à la tête … [1] […]

Toutefois, le fait de secouer violemment un enfant n’est pas la seule cause de la fameuse « Triade ». Ces dommages peuvent également se produire après des chutes, des maladies telles que l’encéphalite et la méningite, des traumatismes de naissance, des carences en vitamines, des maladies génétiques comme le syndrome de fragilité osseuses. Ces causes sont identifiées dans le British Medical Journal online guide Best practice : Abusive Head Trauma in Infants. [2]

Hémorragies derrière les yeux

 

Le document rédigé par le procureur Dermot Garrett intitulé Overcoming Defense Expert Testiùony in Abusive Head Trauma Cases est très précis lorsqu’il discute l’hémorragie rétinienne à la page 35 [3]. Gerrett fait état d’une communication faite à l’Association Américaine d’Ophtalmologie et de Strabisme (Annual Meeting 2010) qui a analysé les résultats de 62 études d’hémorragies rétiniennes pédiatriques publiées depuis 1965.

Garrett précise que tous les enfants étudiés étaient âgés de moins de 11 ans et avaient subi un examen détaillé par des ophtalmologistes qui avaient diagnostiqué des hémorragies rétiniennes dues à des traumatismes crâniens accidentels ou non accidentels. Les résultats de l’analyse ont montré que 78% des patients dont le traumatisme accidentel avait été confirmé, souffraient d’hémorragies rétiniennes en comparaison avec 5,3% de patients atteints de traumatismes non accidentels, ce qui prouve que tous les cas d’hémorragies rétiniennes ne sont pas nécessairement provoqués par des abus d’enfants.

Œdèmes du cerveau

 

Une autre cause de la « Triade » des dommages associés au SBS est la méningite/encéphalite, une réaction grave aux vaccinations Au début de 2013, Marahendra K. Patel et al. ont publié un article dans le journal Pharmacology and Pharmacotherapeutics, qui traite du cas d’un garçon de 5 mois dont le diagnostic avait été : suspicion d’encéphalopathie post-vaccinale à la suite du vaccin DTC. Les tests ont conclu qu’une réaction à la vaccination DTC était probable. Au cours de leur discussion, les auteurs ont évoqué plusieurs autres cas inquiétants de réactions similaires en Inde. [4]

En 2010, le Dr Lucija Tomljenovic a rédigé un long article qui montrait qu’elle possédait la preuve qu’elle avait découvert de nombreux cas d’enfants qui avaient fait une encéphalite ou une méningite après avoir reçu des vaccins, et ce, à partir de 1983. Ces découvertes, précise-t-elle ont été délibérément occultées par le JCVI du gouvernement britannique. (Joint Committee for Vaccination and Immunization). [5]

Le Dr Viera Scheibner mentionne une encéphalomyélite induite par des vaccins et qui se caractérise par un œdème du cerveau, ainsi que des hémorragies. En 1988, elle a écrit un article qui a été publié dans Nexus sous le titre Syndrome du Bébé Secoué : le lien avec la vaccination. Elle avait été tellement outrée que des parents étaient accusés à tort alors que leurs enfants avaient subi des séquelles de vaccins, qu’elle a commencé son article en écrivant :

« Il y a quelque temps, j’ai commencé à recevoir des demandes de rapports de la part d’avocats ou de parents accusés. Une étude approfondie de l’histoire de ces cas a révélé quelque chose de sinistre et d’inquiétant : dans chacun des cas examinés, les symptômes sont apparus peu de temps après que le bébé ait été vacciné.

Alors que j’enquêtais sur l’histoire médicale personnelle de ces bébés en fonction des notes, des agendas des soignants, ainsi que des dossiers médicaux, j’ai rapidement pu établir que ces bébés avaient reçu un ou plusieurs vaccins de la série habituelle contre l’hépatite B, le DTC (diphtérie-Tétanos-Coqueluche), Polio, Hib (Haemophilus Influenza type B) – peu de temps avant qu’ils ne développent les symptômes de la maladie avec apparition de dommages cérébraux ou de décès. [6]

Le Dr Harold Buttram et F. Yazbak ont eux aussi publié des articles sur les fausses accusations de SBS et l’encéphalite induite par les vaccins dans leur document intitulé « Syndrome du Bébé Secoué ou encéphalite provoquée par les vaccins : l’histoire du bébé Alan. [7]

Le Dr Buttram commence son étude en écrivant :

« Dans le rapport suivant, le Dr Yazbak et moi-même avons examiné le cas d’un décès infantile qui aurait, selon nous, été diagnostiqué à tort comme Syndrome du Bébé Secoué. Selon nous, la cause du décès de cet enfant est une encéphalite causée par la vaccination. Nous avons étudié ce cas pendant près d’un an. Notre rapport représente un nombre incalculable d’heures d’études, ainsi qu’une enquête approfondie sur les nombreux paramètres techniques de l’affaire. Au travers de cette étude, nous nous sommes rendu compte que le cas que nous avons étudié est représentatif d’une tendance émergente de réactions aux vaccins de plus en plus fréquents administrés aux enfants et qui sont négligés ou mal diagnostiqués par notre système de santé actuel.

L’histoire du petit Alan est terrible. Elle est d’autant plus poignante qu’elle pourrait arriver à n’importe quel jeune couple, à n’importe quelle famille. Bien que le rapport soit nécessairement assez technique, nous voudrions vous prier de bien vouloir le lire. Si vous êtes une jeune personne souhaitant fonder une famille, ce qui est arrivé aux parents du petit Alan pourrait tout aussi bien vous arriver.

En dépit de toutes les preuves qui ont été accumulées, des parents continuent d’être accusés d’avoir secoué leur bébé avant que l’on se soit donné la peine d’explorer minutieusement tous les autres diagnostics possibles.

La technique REID (USA)

 

Quand on suspecte le cas d’un bébé secoué ou d’un accident cérébral, la police est appelée pour interroger les parents et/ou les gardiennes qui s’occupaient de l’enfant. Selon les parents qui ont déjà eu à subir pareils interviews, il s’agirait de procédures extrêmement intimidantes. Beaucoup de parents succombent à pareils interrogatoires intimidants, soit en admettant qu’ils ont endommagé la santé de leur enfant, soit en acceptant une négociation. Il s’agit de la technique de Reid utilisée par les services de police à travers le monde. Cette technique comporte neuf étapes, et, à mon avis, elle est mise en place pour intimider les personnes interrogées et contraindre ces personnes innocentes à avouer.

Voici ces neuf étapes :

  1. L’officier de police présentera le suspect avec la preuve qu’il a commis le crime. (Cette preuve peut être réelle ou fausse)
  2. L’officier de police présente une histoire qui explique pourquoi la police est persuadée que le/les suspect(s) a / ont commis le crime.
  3. Si le suspect tente de nier qu’il a commis le crime, le détective va l’interrompre immédiatement.
  4. Si le suspect tente de donner une explication logique pour faire comprendre pourquoi il n’est pas possible qu’il ait pu commettre le crime, cette explication est immédiatement réfutée.
  5. À ce stade, le détective fait semblant d’être l’allié du suspect.
  6. Ensuite, le détective va examiner le comportement et le langage corporel du suspect pour pouvoir détecter s’il est sur le point de « se rendre ».
  7. Le détective ou le policier présentera ensuite plusieurs motifs qui auraient pu expliquer le crime.
  8. Le policier va ensuite exhorter le suspect à parler du crime.
  9. La confession : à ce stade, le suspect se sent habituellement intimidé et anxieux et la « confession » se produit.

 Des chercheurs découvrent la vérité


Au début de cette année, le Dr Michael Innis a publié une étude revue par les pairs dans Clinical Medicine Research. Son étude qui porte le titre : Auto-immunité et dommages non-accidentels chez les enfants, examine le cas de cinq enfants ayant souffert de dommages cérébraux et de fractures après les vaccinations. Après avoir étudié chaque cas en profondeur, il a conclu que la vaccination pourrait être responsable de la « Triade » de dommages communément associés au SBS. [11]

Dans son article, le Dr Innis souligne que la réponse à la stimulation antigénique endommage les cellules bêta du pancréas provoquant ainsi une hypo insulinémie (niveaux exceptionnellement bas d’insuline dans le sang). Cette situation inhibe l’absorption cellulaire de la vitamine C, entraînant par le fait même un dysfonctionnement du foie, une insuffisance de carboxylation des protéines dépendant de la vitamine K. : situation qui finit par provoquer des hémorragies, ainsi que des fractures (la fameuse « Triade »). Le Dr Innis conclut son étude en précisant que les fractures, les hémorragies sub-durales, rétiniennes et les encéphalopathies chez les enfants sont des réponses auto-immunes aux stimulations antigéniques chez des individus génétiquement prédisposés. Il explique que les antigènes les plus habituels sont les vaccins obligatoires, les infections virales, bactériennes ou parasitaires.

Pour comprendre exactement comment les cas de dommages vaccinaux sont si souvent diagnostiqués à tort comme SBS, veuillez s’il vous plaît lire le document du Dr Innis dans son intégralité.

Personnellement, j’ai trouvé que ce document était facile à lire, qu’il était intéressant et révélateur. J’ai été particulièrement touchée quand j’ai réalisé que le Dr Innis a commencé la rédaction de son texte en citant les travaux de la psychologue Lisa Blakemore-Brown qui, en 1995-1996 avait été la première professionnelle à mettre le doigt sur le fait que les parents étaient souvent accusés à tort d’abus après que leur enfant ait subi des dommages après avoir été vaccinés.

 

Faut-il encore d’autres preuves ?


De nombreux autres professionnels de Santé continuent d’appuyer le fait que des parents sont faussement accusés d’avoir provoqué un SBS. En 2008, Kent R. Holcomb a publié un article :
« Syndrome du Bébé Secoué : Pétition pour soutenir des parents innocents » dans lequel il démontre que la théorie du Bébé Secoué est « instable » vu que l’on parle de cas hypothétiques. [12] … Depuis des années, la « Triade » des dommages a constitué le seul élément de preuves utilisées dans des procédures criminelles pour condamner des parents pour « Syndrome du Bébé Secoué ». Selon un nombre croissant de professionnels, cette confiance mal placée a donné lieu à la condamnation de nombreux parents innocents accusés de meurtre.

Cependant les temps changent, et comme l’explique Holcomb, l’histoire de la médecine est remplie de pratiques qui, au cours du temps, ont d’abord été acceptées par un consensus de l’opinion médicale pour être ensuite rejetées comme inutiles, potentiellement nocives, voire meurtrières.

Les professionnels de la Santé reconnaissent que le Syndrome du Bébé Secoué est un diagnostic dangereux étant donné les preuves présentées par la biomécanique. Selon Holcomb, l’étude de la biomécanique a prouvé qu’un être humain n’a généralement pas la force physique nécessaire pour causer des lésions cérébrales mortelles en secouant un enfant. Il ajoute que si un enfant devait être secoué comme il est décrit dans les cas de SBS, alors cette violence se traduirait par une incidence élevée de paralysies spinales et de dommages au cou des nourrissons ; ce qui n’a jamais été rapporté en association avec le SBS.

En 2009, Holomb a publié un article s’intitulant : Justification pour une injonction fédérale de suspendre toutes les licences de vaccins basées sur des risques déraisonnables, ainsi que sur des liens avec les pandémies de maladies chroniques.
Holcomb dit très clairement que les vaccins sont dangereux à tous les niveaux. Il déclare qu’une hypothèse n’est pas prouvée tant que toutes les données n’ont pas été prises en compte.

Il précise :

« Lors de l’évaluation de la sécurité des vaccins, comme de celle de toutes les autres hypothèses, les Secrétaires à la Santé et aux Services Sociaux ne peuvent accepter que pareille théorie soit prouvée ou l’élever au niveau d’une théorie scientifique, avant que ladite hypothèse soit soumise à une rigoureuse enquête scientifique et que toutes les tentatives de falsification aient échoué.

Évaluer tous les essais cliniques et les études épidémiologiques qui sont disponibles pour soutenir l’hypothèse que « les vaccins sont sans danger », les SHHS devraient reconnaître que chacune de ces études présentent des défauts qui les empêchent de recevoir les évaluations QER1 ou QERII. Les essais cliniques de 21 jours sans contrôles adéquats ne peuvent revendiquer le statut de sécurité à long terme. Chaque étude de population SHHS n’a pas non plus appliqué la méthodologie appropriée et ne s’est pas basée sur un groupe de population approprié. D’autres études de population, telles que les études secrètes VSD ne peuvent être classées comme émanant d’une science valide du fait que leurs données et leurs méthodologies n’ont pas été divulguées. Une hypothèse qui ne peut pas être examinée ou testée n’a rien à voir avec la science; il s’agit alors plutôt d’un système de croyance. »

Tout au long de son exposé, Holcomb est très clair sur le fait que les vaccins n’ont pas été suffisamment testés ou évalués. Il précise que quand le SHHS veut mettre l’accent sur la qualité des données, il devrait savoir que des opinions répétées basées sur des données de mauvaise qualité ne sont pas susceptibles d’améliorer la qualité des preuves.

À la page trois de son étude Holcomb reprend : « Une hypothèse qui ne peut être examinée ou testée ne relève plus de la science mais plutôt d’un système de croyances. »

Cette déclaration est tout à fait correcte et je pense que la même chose pourrait être dite pour l’hypothèse du Bébé Secoué. L’hypothèse que la « Triade » de dommages peut être provoquée en secouant un enfant n’a jamais été démontrée; par conséquent, il s’agit aussi d’un système de croyances. En fait la biomécanique a prouvé qu’il n’est pas physiquement possible de secouer manuellement un enfant avec assez de force pour pouvoir provoquer « la Triade »; réflexion qui est soutenue par les travaux du Dr John D. Lloyd et par bien d’autres. [13]

 

Conclusion


Il existe de nombreux documents qui montrent que des enfants sont morts dans les semaines, si pas les jours qui ont suivi des vaccinations multiples. Nombreux sont les enfants qui ont été diagnostiqués à tort comme souffrant du syndrome du Bébé Secoué.

Le syndrome du Bébé Secoué est une hypothèse – une théorie – car il n’a jamais été démontré de façon concluante qu’un bébé ait été secoué à mort. Je n’ai pas encore pu trouver les preuves concrètes par rapport au fait que quelqu’un ait si fortement secoué un bébé qu’il soit mort plus tard de la « Triade » des dommages. Il existe cependant un certain nombre d’études biomécaniques montrant qu’il n’est pas possible de secouer physiquement un bébé pour que cela puisse provoquer la « Triade » des dommages associées au Syndrome du Bébé Secoué.

Par conséquent, il nous reste une question à envisager : les vaccinations peuvent-elles causer la « Triade » de dommages associés au Syndrome du Bébé Secoué ?

Il n’existe aucune étude prouvant de manière concluante que les vaccins peuvent provoquer la « Triade » SBS, mais du fait qu’il n’a jamais été possible de considérer que les vaccinations étaient parfaitement sûres, qu’il a toujours été considéré qu’il n’était pas éthique de comparer des enfants vaccinés à des enfants non vaccinés, on n’a donc plus affaire à de la science mais plutôt à un système de croyances, comme l’a suggéré Holcomb. Ce qui est dramatique, c’est que ce système de croyances est à l’origine de l’incarcération de nombreux parents innocents.

Tous les parents qui sont accusés du SBS ne sont pas des criminels et comme nous l’avons vu, de nombreuses causes peuvent expliquer pourquoi certains enfants ont souffert ou sont morts de ces horribles lésions cérébrales. La profession médicale se doit d’examiner les véritables causes du Syndrome du Bébé Secoué, et tout spécialement la vaccination.

Références :



vendredi 12 juillet 2013

Santé, Vaccinations : Peut-on ne pas le faire ? ... Oui on peut ! ...


Pour ceux qui ne me connaissent pas, je suis médecin généraliste depuis 35 ans, et j'ai vacciné pendant 33 ans, sans état d'âme et en toute innocence coupable, oxymore seulement apparent : l'innocent ne sait pas, mais le médecin qui ne sait pas est coupable. Ma seule information a été la faculté (qui glissa joyeusement sur le sujet en 2-3 heures), et surtout la presse médicale et ses valets, les visiteurs médicaux; jamais le dogme n'a été remis en question.

Il a fallu l'insistance et l'arrogance de Madame Bachelot à l'occasion de la grippe porcine pour que s'ouvre enfin ma machine à penser, à douter. Des ouvrages contestataires me sont tombés dans les mains comme par magie, et j'ai du non seulement remettre en question cette vaccination, mais l'ensemble des vaccins. Chaque nouveau bouquin m'a apporté des révélations, m'a appris le formidable mensonge entretenu depuis Pasteur, dont j'ai découvert qu'il n'était qu'un escroc, avec une nombreuse descendance. J'en parlerai plus tard peut-être.

Comprenez qu'un médecin qui refuse de vacciner prend quelques risques avec son Ordre, et compromet gravement ses revenus (en 7 ans, un enfant " rapporte " au moins 500 euros sous cet angle) : ce qui n'incite guère ni à la réflexion, ni à la remise en question. J'ai franchi ce pas, après bien d'autres confrères, dans la discrétion. De plus en plus de confrères et de moins en moins de discrétion, pour eux comme pour moi, car les mentalités évoluent. Nos détracteurs nous montrent qu'en fait ils n'ont jamais étudié la question, ou choisi de ne pas l'entendre. En principe, celui qui se donne la peine d'étudier vire sa cuti dans les mois qui suivent.

J'ai donc vacciné trois fois depuis un an (au lieu de 300), sous contrainte, au désespoir, et non sans avoir tout tenté pour expliquer. (Je n'ai pas poussé la seringue à fond, pour me donner bonne conscience, mais c'est quand même trois échecs personnels). Cela ne se reproduira plus.

Mon chiffre d'affaire n'a pas baissé, ce qui prouve qu'on peut le faire. Je vois moins d'enfants, et c'est dommage pour eux. Mais je vis, je vis bien, je vis mieux, et je vis avec la conscience de faire ce qu'il faut.

Voici, par exemple, pourquoi j'agis ainsi (mais j'ai des centaines d'articles tout aussi convaincants) :


Un dernier mot : seuls trois vaccins sont obligatoires en France (et aucun dans un grand nombre de pays) : Diphtérie, Tétanos et Polio. L'imposition de tout autre vaccin est illégale, dans tous les cas de figure, et même punie par la loi, sauf dans certaines professions (médicale et militaire), ce qui est hautement discriminatoire et contestable.

Je recommande un petit livre de la collection Jouvence, écrit par un collectif de médecins suisses, très facile à lire, et qui ne vous coutera que 4,90 euros, mais vous amènera en douceur à la raison: " Qui aime bien, vaccine peu " qu'on peut commander ici :


De plus, on ne peut pas ne pas avoir vu ce film :

" Silence on vaccine " :



Vaccins : accédez à l’entièreté des faits


Des médecins, des infirmières et des scientifiques engagés pour la protection de votre santé et celle de vos enfants :

Nicola Antonucci, MD David Ayoub, MD Nancy Turner Banks, MD Timur Baruti, MD Danny Beard, DC Françoise Berthoud, MD Russell Blaylock, MD Fred Bloem, MD Laura Bridgman, FNP, ND Kelly Brogan, MD Sarah Buckley, MD Rashid Buttar, DO Harold Buttram, MD Lisa Cantrell, RN Lua Català Ferrer, MD Jennifer Craig, PhD, BSN, MA Robert Davidson, MD, PhD Ana de Leo, MD Carlos de Quero Kops, MD Carolyn Dean, MD, ND Mayer Eisenstein, MD, JD, MPH Todd M. Elsner, DC Jorge Esteves, MD Edward " Ted " Fogarty, MD Jack Forbush, DO Milani Gabriele, CRNA, RN Sheila Gibson, MD, BSc Mike Godfrey, MBBS Isaac Golden, ND Gary Goldman, PhD Garry Gordon, MD, DO, MD(H) Doug Graham, DC Boyd Haley, PhD Gayl Hamilton, MD Linda Hegstrand, MD, PhD James Howenstine, MD Suzanne Humphries, MD Belén Igual Diaz, MD Philip Incao, MD Joyce Johnson, ND A. Majid Katme, MBBCh, DPM Tedd Koren, DC Alexander Kotok, MD, PhD Eneko Landaburu, MD Luc Lemaire, DC Janet Levatin, MD Thomas Levy, MD, JD Stephen L'Hommedieu, DC Paul Maher, MD, MPH Andrew Maniotis, PhD Steve Marini, PhD, DC Juan Manuel Martínez Méndez, MD Sue McIntosh, MD Richard Moskowitz, MD Sheri Nakken, RN, MA Christiane Northrup, MD Amber Passini, MD Ronald Peters, MD, MPH Jean Pilette, MD Pat Rattigan, ND Zoltan Rona, MD, MSc Chaim Rosenthal, MD Robert Rowen, MDMáximo Sandín, PhD Len Saputo, MD Michael Schachter, MD Viera Scheibner, PhD Penelope Shar, MD Bruce Shelton, MD, MD(H) Debbi Silverman, MD Kenneth “KP” Stoller, MD Terri Su, MD Didier Tarte, MD Leigh Ann Tatnall, RN Adiel Tel‐Oren, MD, DC Sherri Tenpenny, DO Renee Tocco, DC Demetra Vagias, MD, ND Franco Verzella, MD Julian Whitaker, MD Ronald Whitmont, MD Betty Wood, MD Eduardo Ángel Yahbes, MD

Les signataires, ci‐dessus, représentent une palette de professionnels comprenant des pédiatres, des médecins de famille, des neurochirurgiens, des professeurs de pathologie, de chimie, de biologie et d’immunologie. Tous ont, de façon indépendante, investigué l’ensemble des données scientifiques relatives à ce sujet et en arrivent aux conclusions que vous pourrez lire dans ce document. MD, DO, MB, MBBCh indiquent tous une formation de doctorat en médecine ou de niveau équivalent. ND indique une formation médicale du niveau d’un doctorat mais dans des domaines plus spécifiques de la pratique médicale. FNP signifie une infirmière pratiquant à domicile.

Vous êtes‐vous déjà demandé pourquoi les médecins n’arrivent pas à trouver la cause de beaucoup de maladies ? C’est parce qu’ils sont conditionnés à ignorer le lien existant entre les vaccins et diverses pathologies. Les maladies suivantes sont celles pour lesquelles il existe une association avec les vaccins, documentée dans la littérature médicale :
  • Allergies et eczéma • Arthrite • Asthme • Autisme
  • Reflux acide du jeune enfant nécessitant le cours aux inhibiteurs de la pompe à protons, des médicaments qui ont beaucoup d’effets secondaires
  • Cancer
  • Diabète juvénile
  • Maladies rénales
  • Fausses couches
  • Longue liste de maladies neurologiques et auto‐immunes • Syndrome de la Mort Subite du Nourrisson (MSN)
  • Et beaucoup, beaucoup plus
Il y a certains effets secondaires des vaccins qui sont documentés dans la littérature médicale et/ou dans les notices des fabricants :
  • Arthrite, troubles sanguins, thromboses, attaques cardiaques, septicémie
  • Infections des oreilles
  • Évanouissements (avec rapports de fractures consécutives)
  • Insuffisance rénale nécessitant une dialyse
  • Convulsions/épilepsie
  • Réactions allergiques sévères, comme l’urticaire ou l’anaphylaxie
  • Mort subite
  • Beaucoup de diagnostics habituellement donnés comme motifs d’hospitalisation
  • Le programme national d’indemnisation des accidents post‐vaccinaux (NVCIP) a octroyé plus d’1,2 milliard de dollars ($) d’indemnisation aux victimes, enfants comme adultes.

 

L’autisme est associé aux vaccins.


L’autisme était rare avant les programmes de vaccination de masse qui ont été amplifiés en 1991, avec l’introduction des vaccins contre l’hépatite B et l’Hib (méningite). Des dizaines de milliers de parents peuvent attester que leurs enfants sont devenus autistes vraiment peu de temps après avoir reçu ces vaccins ou d’autres.

Prenez connaissance de l’information disponible sur le site www.fourteenstudies.org. Vous verrez que les études réfutant le lien entre vaccins et autisme, sont hautement contestables.

Les compagnies pharmaceutiques, les compagnies d’assurance et le système médical vivent financièrement de vos maladies.
  • Les vaccins ne procurent pas d’immunité à vie, ce qui signifie que des rappels sont recommandés.
  • Chaque injection de rappel accroit le risque d’effets secondaires.
  • Les effets secondaires des vaccins peuvent vous rendre malade pour le restant de votre vie. Et, fort opportunément, il existe beaucoup de médicaments pour traiter les effets secondaires provoqués par les vaccins.
  • Aux États-Unis, vous ne pouvez pas poursuivre le fabricant ou votre médecin lorsqu’un accident survient après une vaccination. L’un et l’autre sont protégés par la loi nationale sur les dommages vaccinaux chez l’enfant « National Child Vaccine Injury Act » de 1986. Cette loi signée et rendue effective par le président Ronald Reagan stipule : « Aucun producteur de vaccins ne pourra être rendu responsable, dans une action civile, des dommages ou des décès liés à un vaccin. » (Loi publique 99‐660)
Beaucoup de médecins et de professionnels de la santé ne se vaccinent pas et ne font pas vacciner leurs enfants. Pourquoi ne le font‐ils pas ?
  • Ils savent qu’il n’est pas prouvé que les vaccins soient sûrs ou efficaces.
  • Ils savent que les vaccins contiennent des substances dangereuses.
  • Ils savent que les vaccins génèrent de graves problèmes de santé.
  • Ils ont déjà eu à traiter des patients souffrant de graves effets secondaires de vaccins.
La seule personne qui retire avantage d’être en bonne santé, c’est vous et ceux sur qui vous veillez.
  • Les compagnies pharmaceutiques ont infiltré et pris le contrôle du système médical dans son ensemble, incluant les écoles de médecines, les journaux médicaux, les hôpitaux, les cliniques et les pharmacies locales. Les revenus des médecins dépendent donc d’une foi aveugle, qui implique de ne jamais remettre en question le moindre aspect de la moindre vaccination. Même quand le médecin a sous les yeux les preuves évidentes d’un dommage vaccinal, il/elle est habituellement peu disposé(e) à envisager la vaccination comme en étant la cause. Malgré le fait que la science et la médecine non corrompues confortent l’abandon des vaccins, agir ainsi peut être considéré comme suicidaire pour sa carrière professionnelle. Les signataires de ce document assument définitivement et courageusement ces risques pour votre sécurité et celle de vos enfants.
  • Les hôpitaux tirent financièrement avantage des hospitalisations et des examens.
  • Les compagnies pharmaceutiques retirent des milliards de dollars des vaccins.
  • Les compagnies pharmaceutiques gagnent des dizaines de milliards de dollars grâce à la vente de médicaments destinés à « traiter » les effets secondaires et les maladies chroniques à vie causées par les vaccins.
  • Les vaccins sont la clé de voûte du système médical. Sans vaccins, les coûts des soins de santé diminueraient parce qu’au final, nous aurions une société plus saine dans son ensemble. Nous avons échangé la varicelle contre l’autisme, la grippe contre de l’asthme, des infections ORL pour du diabète,... et la liste pourrait encore continuer. En voulant frénétiquement éradiquer des microbes relativement bénins, nous avons troqué des maladies temporaires contre des maladies chroniques à vie, lourdes, insidieuses, des désordres, des dysfonctions, des inaptitudes et autres incapacités.

 

Combien y a‐t‐il de vaccins ?


Si les enfants américains reçoivent toutes les doses de tous les vaccins, ils se font administrer 35 injections qui contiennent 113 différentes sortes de particules microbiennes, 59 produits chimiques différents, 4 types de cellules ou d’ADN animal ainsi que de l’ADN humain issu de fœtus avortés et de l’albumine humaine.

Si vous pensez que vous n’avez pas de souci à vous faire parce que vos enfants sont plus âgés, pensez‐y à deux fois. Il y a pas moins de 20 vaccins supplémentaires qui sont actuellement dans le pipeline de développement de l’industrie pharmaceutique pour être mis sur le marché dans les quelques prochaines années, la plupart destinés aux adolescents et aux adultes.

Certains composants des vaccins : Comment est‐il possible que les vaccins ne puissent pas faire de tort à votre santé avec ça ?
  • Des virus ou bactéries adventices issues des milieux de culture à partir desquels les vaccins sont fabriqués.
  • Du mercure, un neurotoxique notoire, qui se trouve toujours dans les flacons multi‐doses de vaccin contre la grippe utilisés dans le monde entier. En outre, le mercure se trouve toujours, à l’état de trace, dans plusieurs autres vaccins.
  • De l’aluminium, un poison qui cause la dégénérescence des os, de la moelle osseuse et du cerveau.
  • Des cellules animales de singes, de reins de chiens, de poulets, de vaches, et d’humains.
  • Du formaldéhyde (utilisé pour l’embaumement des morts), un cancérigène notoire.
  • Du polysorbate 80, connu pour causer l’infertilité chez la souris femelle et l’atrophie testiculaire chez la souris mâle.
  • De la gélatine, issue des porcs et des bovins, connue pour causer des réactions anaphylactiques et que l’on retrouve en grande quantité dans les vaccins ROR et ceux contre la varicelle et le zona.
  • Du monosodium glutamate (MSG) dans les vaccins à inhaler contre la grippe, une substance connue pour causer des perturbations métaboliques (par ex. diabète), des convulsions et d’autres troubles neurologiques.

 

Les conflits d’intérêts

 

  •  Les mêmes personnes qui font la réglementation et les recommandations en matière vaccinale tirent aussi avantage de la vente des vaccins. Par exemple, le Dr Julie Gerberding, qui a dirigé le CDC pendant 8 années est, à présent, présidente de Merck Vaccins. Le Dr Paul Offit, membre du Comité de Conseil en matière de pratiques vaccinales (ACIP) a développé et fait breveter son propre vaccin.
Selon le CDC, pour un groupe moyen d’environ 10 pédiatres, la valeur approximative du stock de vaccins infantiles à écouler et disponibles dans leurs bureaux, avoisine les $100 000. Ces médecins s’enrichissent des visites au cours desquelles vos enfants sont vaccinés et aussi des visites de suivi, qui font suite aux effets secondaires de ces vaccins reçus.

Les pédiatres reçoivent des primes trimestrielles de la part des « mutualités » (« health maintenance organizations » ‐ HMOs) avec lesquelles ils collaborent pour maintenir des taux élevés de couverture vaccinale dans leur clientèle et ils sont, semble‐t‐il, réprimandés par les compagnies d’assurance lorsque les taux de vaccination chutent.

Existe‐t‐il la moindre étude comparant la santé des enfants vaccinés à celle des non vaccinés ?

Une étude financée par Generation Rescue, appelée l’« étude Cal‐Oregon » a questionné les parents d’enfants vaccinés vs. ceux d’enfants non vaccinés. Sur les 17 674 enfants inclus dans cette étude, les résultats ont montré :
  • Les enfants vaccinés avaient 120% plus d’asthme. • Les garçons vaccinés avaient 317% plus de troubles de déficit d’attention avec hyperactivité (TDAH).
  • Les garçons vaccinés avaient 185% plus de désordres neurologiques.
  • Les garçons vaccinés avaient 146% plus d’autisme.
Les filles représentent seulement 20% du nombre total d’enfants repris dans cette étude. Pour lire la totalité de l’étude par vous‐même, allez sur :

Pour lire un rapport sur la faible incidence de l’autisme parmi les enfants Amish non vaccinés, allez sur :  http://www.vaccinationcouncil.org/quick‐compare‐2

 

Les exemptions vaccinales aux États‐Unis


Vous avez le droit de refuser. Utilisez‐le. On ne peut pas obliger que votre enfant se fasse vacciner pour fréquenter une école publique. Chaque état rend possible des exemptions et vous avez le droit de refuser les vaccins que vous estimez indésirables. http://exemptmychild.com/10752/

Trouvez un dispensateur de soins qui est en phase avec votre choix de ne pas vacciner et qui vous respectera sur le site :  www.vaccinationcouncil.org/providers.pdf

Beaucoup de gens choisissent la santé et la sécurité en disant NON aux vaccins.

Les groupes qui ne vaccinent généralement pas incluent les praticiens holistiques, les chiropracteurs, les parents qui donnent eux‐mêmes les cours à domicile et ceux appartenant à certaines religions.

Des milliers de témoignages écrits par des parents d’enfants non vaccinés au sujet de l’excellent état de santé de leurs enfants sont disponibles sur divers sites internet. Les décisions concernant la vaccination vous appartiennent à vous et à votre époux(se)/partenaire. Personne d’autre n’a à s’en mêler. Ce n’est pas l’affaire des autres membres de votre famille, de vos voisins ou de votre belle famille !

Pour avoir une santé brillante, vous aurez besoin de vous investir pour apprendre certaines choses nouvelles.
  • Le choix de santé sûr est de dire NON aux vaccins. Vous avez le contrôle des choix de santé que vous faites pour vous‐même et pour vos enfants. Vous n’avez aucun contrôle sur les conséquences d’une vaccination.
  • Vous n’avez pas besoin d’un “pédiatre attitré” pour simplement peser et mesurer votre enfant et faire les injections. Envisagez la possibilité de recourir à un praticien naturopathe, un chiropracteur pour enfants, un praticien en médecine orientale ou un homéopathe. Vous pourrez constater que les praticiens de la famille des ostéopathes sont plus ouverts en ce qui concerne les choix vaccinaux.
  • Les enfants naissent avec de puissantes défenses naturelles. Si cela n’était pas le cas, ils mourraient tous, peu après la naissance. D’énormes cascades de réactions immunitaires complexes commencent dès les premiers cris de la naissance. Ces processus ont besoin de se dérouler naturellement, sans être interrompus par l’injection de substances toxiques.
  • Informez‐vous au sujet des maladies que les vaccins peuvent “prévenir”. Votre enfant n’entrera sans doute jamais en contact avec la plupart de ces microbes et si c’était le cas, quasiment tous les enfants sains et non vaccinés s’en remettent sans aucune séquelles avec à la clé, une immunité durable à vie. La santé ne peut pas « jaillir » de la seringue.
  • Informez‐vous au sujet de l’importance de la fièvre, comment en tirer profit chez soi à la maison et quand recourir à un médecin. La plupart des épisodes fiévreux se résolvent d’eux‐ mêmes en quelques heures quand on se soigne raisonnablement.
  • Comprenez que votre enfant peut être vacciné et malgré tout contracter la maladie que vous souhaitiez prévenir. Les vaccins ne peuvent pas assurer la protection qui leur est attribuée. La santé ne peut pas « jaillir » de la seringue, ce n’est pas quelque chose qui s’injecte.
  • Prenez conscience que les principales clés de la santé sont une bonne alimentation, une eau pure, un sommeil adéquat, de l’exercice et de la joie de vivre.
  • Apprenez aussi des informations basiques sur les vitamines, en particulier l’information vraiment cruciale au sujet de la vitamine D3. Apprenez comment utiliser les plantes essentielles et les bases de l’homéopathie pour entretenir sa santé et gérer les troubles mineurs.
  • Informez‐vous davantage sur les vaccins que votre médecin ne l’a fait. Votre médecin n’a probablement jamais rien lu sur les vaccins à part les publications sponsorisées par l’industrie qui en font évidemment l’éloge.
  • Sachez que vous payez pour les soins de santé; le traitement des maladies est remboursé par les compagnies d’assurance. Votre assurance payera les médicaments et les vaccins.
  • Gérer votre budget de façon à pouvoir rester en bonne santé. Votre vie en dépend.

 

Ressources web pour plus d’informations et d’aide

 

 

Des livres pour plus d’information et pour entamer la réflexion :

 

  • Saying No To Vaccines ‐ Sherri Tenpenny, DO
  • Make an Informed Vaccine Decision For the Health of Your Child ‐ Mayer Eisenstein, MD, JD, MPH
  • Vaccines : Are they really sure and effective ? ‐ Neil Miller
  • Child Health Guide‐ Randall Neustaedter
  • Childhood Vaccinations: Questions All Parents Should Ask ‐ Ted Koren, DC
  • How to Raise a Healthy Child in Spite of Your Doctor – Robert Mendelsohn, MD
  • Jabs, Jenner and Juggernauts ‐ Jennifer Craig, PhD, BSN, MA, Dhom
  • Natural Alternatives to Vaccination ‐ Ronan Zolta, MD
  • The Crime of Vaccination ‐ Tenison Deane, MD
  • The Sanctity of Human Blood : Vaccination is Not Immunization ‐ Tim O’Shea, DC
  • Vaccination ‐ Gerhard Buchwald, MD
  • Vaccination : 100 years of Orthodox Research‐ Viera Scheibner, PhD
Les docteurs en médecine (MD, DO, 4yr ND), les docteurs en chiropratique, les professionnels de la santé qui travaillent d’une façon conventionnelle et les praticiens en santé holistique souhaitant participer aux futures versions de ce document et se joindre à notre groupe, peuvent nous contacter par courriel à l’adresse suivante : sayno@vaccinationcouncil.org International Medical Council on Vaccination www.vaccinationcouncil.org et www.facebook.com/vaccinationcouncil

 

Pour trouver quelques références d'ouvrages en français sur le sujet, voir ici :


Par Doctorix le Gaulois

mercredi 10 juillet 2013

L'Infâme Mixture !

 

 Une augmentation de 30% de cancers chez les enfants

 
C'est le constat officiel. Corrélation : les enfants sont hyper vaccinés avec des soupes du diable dont la formule est « confidentielle » et pour cause. Voyez plutôt. On y trouve :  
 
DU SULFATE D'AMMONIUM :
  • Un poison suspecté d'attaquer le foie, le système nerveux, le système gastro-intestinal et respiratoire.
 
DE LA BÊTA-PROPIOLACTONE :
  • Produit connu pour ses propriétés cancérigènes. Un poison suspecté d'attaquer le foie, le système respiratoire et gastro-intestinal ainsi que la peau et les organes des sens.
 
DES LEVURES GÉNÉTIQUEMENT MODIFIÉES, DE l'ADN BACTÉRIEN OU VIRAL D'ANIMAUX :
  • Substances qui peuvent s'incorporer dans l'ADN des vaccinés et entraîner des mutations génétiques inconnues.
 
DU LATEX :
  • Produit qui peut produire des réactions allergiques mettant en péril le pronostic vital.
 
DU GLUTAMATE DE SODIUM :
  • Produit neurotoxique connu pour ses effets mutagènes, tératogènes entraînant des malformations et monstruosités et ses effets sur la descendance. Responsable d'allergies.
 
DE L'ALUMINIUM (Adjuvant) :
  • Produit responsable de dommages cérébraux, suspecté d'être la cause de la maladie d'Alzheimer, de certaines démences, de comas et d'attaques. Responsable également d'allergies cutanées. Impliqué dans la myofasciite à macrophages.
 
DU FORMALDEHYDE (formol) :
  • Constituant principal des substances employées dans l'embaumement; poison lorsqu'il est ingéré; carcinogène, impliqué dans les leucémies, les cancers du cerveau, du colon, des organes lymphatiques; suspecté d'occasionner des problèmes immunitaires, les systèmes nerveux, les organes de reproduction. Utilisé pour inactiver les germes.
 
DES MICROORGANISMES :
  • Des virus ou des bactéries vivants ou tués ou leurs toxines. Le vaccin polio contenait du SV40, virus de singe retrouvé chez les humains dans les os, l'enveloppe des poumons mésothélium, dans les lymphomes et tumeurs du cerveau.
 
DU POLYSORBATE 80 :
  • Connu pour causer des cancers chez les animaux.
 
DU TRI(N) BUTYLPHOSPHATE :
  • Suspecté d'être un poison pour les reins et les nerfs.
 
DU GLUTARALDEHYDE :
  • Poison s'il est ingéré; responsable de malformation néonatales chez les animaux d'expérimentation.
 
DE LA GÉLATINE :
  • Produite à partir de certaines parties de la peau des veaux ainsi que des os de bovins déminéralisés et de peaux de porcs. Responsable d'allergies.
 
DE LA GENTAMYCINE ET DE LA POLYMYXINE B (antibiotiques) :
  • Toxine pour les reins et le système nerveux; responsable d'allergies pouvant être mortelles.
 
DU MERCURE (conservateur) :
  • Une substance des plus dangereuses, qui a une affinité pour le cerveau, le foie, l'intestin, la moelle osseuse et les reins. D'infimes quantités peuvent causer des dommages graves au cerveau. Les symptômes de l'intoxication au mercure sont divers et certains sont superposables aux troubles et désordres autistiques.
 
DE LA NEOMYCINE (antibiotique) :
  • Substance qui perturbe l'absorption de la vitamine B6. Une erreur d'assimilation de la vitamine B6 peut entraîner une forme rare d'épilepsie et de retard mental. Réactions allergiques pouvant être mortelle. Toxique pour les reins et le système nerveux.
 
DU PHENOL/PHENOXYETHANOL :
  • Utilisé comme antigel. Toxique pour toutes les cellules et capable de dérégler les réponses du système immunitaire.
 
DU BORATE DE SODIUM (Borax) :
  • Utilisé comme insecticide et comme raticide - mort aux rats (!) et contenu dans le très à la mode GARDASIL.
 
DES CELLULES HUMAINES ET ANIMALES :
  • Des cellules humaines provenant de tissus de fœtus; de l'albumine humaine, du sang de porc, de cheval, de mouton: de la cervelle de lapin, de cobaye; des reins de chien, du cœur de bœuf, des reins de singes, des embryons de poulets, des œufs de poules (pouvant être contaminés par le virus de la leucose aviaire c'est-à-dire la leucémie des poules ...), des œufs de canards, du sérum de veau (pouvant être porteur des prions de Kreutzfeld Jacob) etc. ... (épouvantable !)
 
Si les gens injectaient du raticide ou feraient boire de l'antigel à leurs enfants, ils seraient mis en examen pour mise en danger de la vie d'autrui et très probablement condamnés au pénal; alors que si c'est un médecin avec sa blouse blanche qui administre cela dans une seringues où ces sordides toxiques sont mélangés à d'autres dans un cocktail qu'on appelle « VACCIN », alors l'enfant n'est plus maltraité mais devient ... PROTÉGÉ !!!
 
 



mardi 9 juillet 2013

Dogmes Vaccinaux

 

 Dogmes Vaccinaux

 
Voici La liste de 40 ouvrages sérieux remettant en cause les dogmes vaccinaux, Aucun de ces ouvrages, largement diffusés tant en France qu'à l'étranger n'a fait l'objet du moindre procès, ni même du moindre démenti ...
  1. Vaccinations : l'Overdose, (Sylvie SIMON), Ed Déjà
  2. Vaccination erreur médicale du siècle (Dr L. de BROUWER), Ed. Louise Courteau
  3. Vaccination, les vérités indésirables, (Pr GEORGET), Ed Dangles
  4. Autisme et Vaccins (Pr GEORGET) Ed Dangles
  5. 12 balles pour un veto, (Dr QUIQUANDON), Ed. Agriculture et Vie, 1978
  6. Pour en finir avec Pasteur, (Ed Éric ANCELET), Ed. Marco PIETTEUR
  7. On peut tuer ton enfant, (Dr P. CHAVANON), Ed Médicis
  8. Les vérités indésirables, le cas Pasteur (Archives Internationales Claude BERNARD), Ed. La Vieille Taupe, 1989
  9. La mafia médicale, (Dr GLANCTOT), Ed. Voici la clé
  10. La dictature médico-scientifique, (Sylvie SIMON), Ed. Filipacchi
  11. Le malade déchaîné (R BICKEL), Médicis
  12. Les chemins de la souveraineté individuelle (RBICKEL), Médicis
  13. L'intox, quelques vérités sur vos médicaments (Dr Bruno DONATINI), Ed. MIF
  14. Prenez en main votre santé tomes 1 et 2 (Michel Dogna) Ed Guy Trédaniel – 2007
  15. La rançon des vaccinations (Simone DELARUEL) Ed. LNPLV, Ed 1988
  16. L'intoxication vaccinale, (F. DELARUE) Ed Le Seuil, 1977
  17. La médecine retrouvée (Dr ELMIGER), Ed. Léa
  18. Des lobbies contre la santé (Roger LENGLET) Ed. Syros
  19. Vaccinations : prévention ou agression ? (M. Th. QUENTIN) Ed. Vivez Soleil
  20. Dossier sur le gouvernement mondial (A.MEUROIS-GIVAUDAN) Ed Amrita
  21. La catastrophe des vaccins obligatoires (Pr TOSSOT) Ed. de l'Ouest, 1950
  22. La faillite du B.C.G (Dr Marcel FERRU) Ed. Princeps
  23. La guerre des virus (LHOROWITZ) Ed Félix
  24. La Santé Publique en otage (Éric GIACOMETTI) Ed. Albin Michel
  25. La santé confisquée (Mirko et Monique BELJANSKI) Ed. Compagnie
  26. Nous te protègerons (Dr Jean PILETTE), Ed. Daxhelt
  27. Tétanos, le mirage de la vaccination (FJOET) Ed. Alis
  28. Tuberculose et vaccin B.C.G ( Pr GRIGORAKI)
  29. Vaccin Hépatite B : Les coulisses d'un scandale (Sylvie SIMON et Dr VERCOUTERE) Ed. Marco Pietteur
  30. Vaccinations : Le droit de choisir (Dr F.CHOFFAT) Ed. Jouvence
  31. Danse avec le diable (G.SCHAB) Ed. Courrier du livre
  32. Des enfants sains même sans médecin (Dr R.MENDELSOHN) Ed. Soleil 1987
  33. Déjà vacciné ? Comment s'en sortir ? (Dr A.BANOS- Sylvie Simon)
  34. Le tabou des vaccinations. Dangers des vaccins, thérapies naturelles de prévention des maladies infectieuses (Miller Schär MANZOLI)
  35. Les dessous des vaccinations (Dr SCOHY) Ed. Cheminements
  36. Au cœur du vivant (J.BOUSQUET) Ed. Saint Michel
  37. La lumière médicale (Dr Norbert BENSAÏD) Ed. Le Seuil
  38. La poliomyélite, quel vaccin ? Quel risque ? (Dr Jean PILETTE) Ed de l'Aronde - 1997
  39. Les radis de la colère (J.P JOSEPH, Avocat à Grenoble) Ed. Louise Courteau
  40. Mon enfant et les vaccins (Dr F.BERTHOUD) Ed Vivez Soleil



vendredi 5 juillet 2013

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